La saison est aux refroidissements, à la toux, au nez qui coule ou à la gorge qui brûle. Doit-on pour autant se priver de son cours de Zumba®, de boxing ou de Pilates ? Pas forcément. Eléments de réponse au cas par cas.
Qui dit rhume dit généralement petit bobo. Entendez par-là symptômes situés au niveau du nez, de la gorge et légère fatigue. Dans ce cas précis, nulle contre-indication à la pratique du sport. En cas de fièvre, de frissons et de courbatures ou de difficultés à respirer, il convient en revanche de s’abstenir !
En cas de symptômes légers, si l’entraînement reste possible, il convient d‘en adapter l’intensité. Objectif : profiter de l’effet décongestionnant de l’exercice sans pour autant surmener son organisme déjà mobilisé par la maladie. En clair, on privilégie les efforts d’intensité basse à moyenne. A éviter : les challenges cardio ou le HIIT qui décoiffe.
Repère : dans le cadre d’un rhume dénué de toute température, on peut raisonnablement s’entraîner à hauteur de 50 à 70 % d’intensité par rapport à l’effort habituel.
Avant de filer en cours de Pilates ou sur le plateau de musculation, quelques réflexes santé s’imposent :
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