Quand on parle de perte de poids, il est fréquent de tomber dans le piège des mythes et des croyances qui nous empêchent d’atteindre nos objectifs summer body. On fait le point sur les idées reçues qui gravitent autour du sujet minceur.
Toutes les graisses ne sont pas concernées. Le bon gras, contenu par exemple dans l’avocat ou le poisson gras, s’avère tout à fait indiqué. Nécessaire au bon fonctionnement de l’organisme, il augmente la sensation de satiété et nous fournit des nutriments essentiels. En revanche, les graisses saturées et trans méritent d’être évitées le plus possible.
Quand ils présentent une structure complexe, les glucides constituent une source d’énergie et de nutriments précieuse. On pense ici aux céréales complètes, aux légumineuses, aux tubercules et à certains légumes. À éviter : les sources de glucides raffinés qui, eux, contribuent à nous faire grossir (pain blanc, pâtes blanches, sucre blanc…).
La minceur ne passe pas par une privation calorique mais plutôt par un rééquilibrage alimentaire. D’autant plus si l’on vise à stabiliser son poids dans le temps. Pour éliminer un maximum de graisse au départ, il est possible d’augmenter la part des activités physiques pratiquées afin de consommer plus de calories qu’à l’accoutumée. À faire : s’alimenter à sa faim en diversifiant ses apports.
Si l’exercice avant la prise alimentaire nous fait brûler davantage de calories, il ne doit pas devenir systématique en raison de l’augmentation du risque de blessure qu’il implique. Idéalement, mieux vaut prévoir une collation légère et surtout, une hydratation suffisante avant de se lancer dans l’effort.
La sueur contient de l’eau et des toxines. À ce titre, maigrir d’un kilo sur la balance après un effort d’endurance signifie que l’on a perdu non pas un kilo de graisse mais… un kilo d’eau ! Pour mincir durablement, le bon réflexe consiste à brûler des calories et à augmenter son métabolisme de base grâce à des exercices de renforcement musculaire.
Au contraire, des nuits trop courtes dérèglent la sensation de satiété. En perturbant la sécrétion des hormones de la faim, le manque de sommeil augmente le risque de fringales. Un seul mot d’ordre pour maigrir : dormez.
Là encore, certaines idées reçues ont la vie dure. Si le phénomène s’avère réel pour certaines personnes, il en va généralement autrement. Le stress, lorsqu’il est chronique, stimule la sécrétion d’une hormone appelée cortisol. Cette dernière peut augmenter l’appétit et l’envie de mets gras et sucrés. En résumé, pour atteindre votre summer body, détendez vous.
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Auteur : Séverine