Découvrez 5 bonnes raisons de courir
Le running vous tente, mais vous n’avez pas encore sauté le pas ? Sur tapis de course, en mode trail ou sur la route, le jogging a tout bon. Présentation de ses atouts point par point.
Courir : pour un moral au beau fixe
C’est prouvé. La course à pied nous fait libérer des endorphines, ces fameuses hormones du bonheur. Le phénomène débute en moyenne après 20 minutes d’effort. Voilà une excellente raison pour se mettre à courir sans tarder !
Pratiquer la course à pied : pour gérer le stress
Autre bienfait du running, son action sur les tensions nerveuses et sur les idées parasites. Courir permet de penser à autre chose qu’à ses problèmes du quotidien tout en oxygénant véritablement le cerveau. Résultat, on se sent plus zen et plus à même d’affronter la vie de tous les jours sans pour autant flirter avec le burn-out.
Se mettre au running : pour se sentir plus en forme
On a parfois envie, après le bureau, de s’enfermer pour regarder une série ou de grignoter. Dommage, car l’activité physique, et notamment la course à pied, permet d’évacuer les toxines accumulées durant la journée et de booster l’immunité. En prime, elle relance la circulation sanguine, peu stimulée en raison de la sédentarité. La preuve, c’est qu’après quelques jours de pratique, on se sent résolument plus alerte, de meilleure humeur et plus en forme.
Adopter le trail : pour éliminer le gras
En courant, le corps se déleste des graisses stockées sur les cuisses, les fesses et le ventre. Pour un résultat optimal, il est primordial d’associer régularité et alimentation équilibrée.
Miser sur le jogging pour affûter ses jambes et… ses fesses
Mission tonification du bas du corps avec la course à pied ! Galbante et tonifiante, l’activité développe le muscle en longueur, évitant toute prise de volume non souhaitée. En prime, elle nous préserve des risques d’ostéoporose, diminue la culotte de cheval et… stimule même les abdominaux ! À nous le ventre plat, les jambes fuselées et les fesses galbées !
Crédit photo : Pexels – Textes : Skom.
